Dans la cocotte, porter à ébullition 3 litres d’eau.
Dans un grand saladier, mélanger le gluten avec la levure maltée, le thym, la poudre d’oignon, le sel et le poivre.
Dans un second saladier, mélanger le bouillon de légumes avec l’huile d’olive et la sauce de soja.
Ajouter les ingrédients liquides aux ingrédients secs et mélanger jusqu’à obtenir une consistance parfaitement homogène.
Pétrir ensuite quelques minutes et façonner la pâte obtenue en pain.
Rouler le pain de pâte dans le morceau d’étamine (pas trop serré). Attacher chaque extrémité avec un morceau de ficelle et serrer les deux autres morceaux de ficelle afin de diviser le pain de pâte en 3 parties.
Placer le pain de pâte enveloppé dans l’eau frémissante et laisser cuire à couvert pendant 1 heure.
Préchauffer le four 10 mn à 200°C.
Sortir le rôti cuit de l’eau et enlever l’étamine.
Envelopper complètement celui-ci de la pâte feuilletée.
Placer le rôti dans un plat allant au four.
Badigeonner la pâte feuilletée au pinceau avec un mélange moitié eau, moitié ketchup.
Cuire à découvert 25 mn à 200°C.
Servir par exemple avec des pommes noisette, des petits légumes et une sauce aux échalotes.
Jeter l’eau de trempage. Les mixer avec le lait d’avoine.
Verser l’huile d’olive dans une casserole. Faire chauffer en rajoutant progressivement la farine tout en mélangeant avec un mixer plongeant. Rajouter les cajous et le lait d’avoine. Rajouter la bière, les épices, le sel et la levure maltée tout en continuant à mixer. Rajouter l’agar-agar et laisser cuire 2 à 3 minutes tout en continuant le mixage.
Huiler un bac ou une terrine dont la dimension permettra d’avoir une épaisseur de produit d’environ 5 centimètres. Verser la préparation dedans. Laisser refroidir un peu, avant de placer au frigo 4 heures minimum.
Le démoulage est assez facile. Ça n’a pas la texture ferme de la raclette une fois crue, mais plutôt celle d’un flan. Ça fond et ça gratine bien.
Recette trouvée sur le merveilleux site Francevegetalienne.fr
2 càs de farine de maïs (à saupoudrer au fond du plat)
Pour la panure :
50 g de chapelure
50 g de farine de pois chiches
Lait végétal
Huile pour la cuisson
Sel et poivre
Attention ! Cette recette doit se faire 4-5 heures à l’avance !
Éplucher les pommes de terre, puis les couper grossièrement en cubes. Les faire bouillir dans une casserole d’eau salée jusqu’à ce qu’elles soient bien tendres.
Égoutter les pommes de terre en gardant un peu d’eau de cuisson et les mettre dans un bol mixeur. Ajouter tous les autres ingrédients à part la farine de maïs. Mixer jusqu’à l’obtention d’un mélange bien lisse et crémeux. Si le mélange est trop épais, ajouter un peu d’eau de cuisson des pommes de terre. Le mélange ne doit cependant pas être trop liquide.
Déposer une feuille de papier sulfurisé dans un plat et saupoudrer de farine de maïs. Verser la préparation dans le plat et bien la lisser à l’aide d’une spatule. Mettre au frais quelques heures (ou la nuit) pour que la préparation devienne suffisamment compacte.
Mélanger la farine et la chapelure, saler et poivrer pour obtenir la panure.
Préparer deux assiettes creuses : l’une contenant le lait, l’autre la chapelure. Transférer la préparation sur un plan de travail (tout en conservant le papier sulfurisé). Avec un cercle de présentation, couper des disques d’environ 5 cm de diamètre.
Faire tremper chaque cercle dans le lait, puis dans la chapelure, des deux côtés, en les soulevant délicatement avec une spatule. Faire cuire les galettes quelques minutes de chaque côté dans une poêle huilée bien chaude.
Recette inspirée du livre de Stéphanie Trech – Medici : « Ma cuisine vegan pour tous les jours »
Couper le tofu en dés et les faire griller dans un wok avec l’huile d’olive.
Dans un récipient, mélanger la crème de soja, la levure, la farine de pois chiches et le curcuma. Saler et poivrer. Réserver.
Cuire les pâtes en suivant les instructions de l’emballage. Les retirer toutefois une minute avant la fin de la cuisson, elles continueront à cuire dans le wok. Egoutter.
Verser les pâtes dans le wok avec le tofu et mélanger. A feu moyen, incorporer le mélange liquide et bien mélanger. Si besoin, ajouter un peu d’eau de cuisson des pâtes.
Faire tremper les noix de cajou dans de l’eau toute une nuit.
Jeter l’eau de trempage et placer les noix de cajou dans un blender avec la quantité d’eau prévue. Mixer jusqu’à obtenir un liquide homogène. Rajouter les autres ingrédients et mixer à nouveau.
Verser la préparation dans une casserole et porter à ébullition, à feu très doux, sans cesser de remuer. Dès les premières bulles, stopper le feu. Bien huiler un récipient de la forme voulue et y verser la préparation.
Laisser refroidir puis placer au réfrigérateur au moins 3 heures.
Ce fromage est destiné à être chaud (pizza, chèvre chaud dans une salade …)
Recette tirée de l’excellent site « la France végétalienne »
Faire cuire les pâtes al dente dans de l’eau bouillante salée selon les instructions de l’emballage.
Pour le pesto, mettre les 2/3 des feuilles de basilic, l’ail pelé, les 2/3 des pignons et les flocons de levure dans un hachoir. Hacher en ajoutant petit à petit l’huile jusqu’à l’obtention d’une pesto onctueux. Saler et poivrer.
Égoutter les pâtes et ajouter les 2/3 du pesto. Répartir les pâtes sur les assiettes et décorer avec le reste des feuilles de basilic et des pignons de pin. Servir avec le pesto restant, éventuellement des champignons et des tomates cuites au four.
Faire tremper les noix de cajou toute une nuit. Jeter l’eau de trempage. Les mixer avec le lait d’avoine. Verser l’huile d’olive dans une casserole. Faire chauffer en rajoutant progressivement la farine tout en mélangeant avec un mixer plongeant. Rajouter les noix de cajou et le lait d’avoine. Rajouter la bière, les épices, le sel et la levure maltée tout en continuant à mixer. Rajouter l’agar-agar et laisser cuire 2 à 3 minutes tout en continuant le mixage. Huiler une terrine dont la dimension permettra d’avoir une paisseur de produit d’environ 5 cm. Verser la préparation dedans. Laisser refroidir un peu avant de placer au frigo 4 heures minimum.
Le démoulage est assez facile. ça n’a pas la texture ferme de la raclette, mais plutôt celle d’un flan. ça fond et ça gratine parfaitement.
Recette tirée du livre « La France végatalienne » de Léna Korobova et Frédéric Zégierman